Eucalipto; eucalipte

Eucaliptus spp.


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1823 Bory de Saint-Vincent

Andalucía: Sanlúcar de Barrameda (Costa Noroeste de Cádiz)

4. VERSANT BÉTIQUE. [...] Cette physionomie africaine du versant Bétique avait dès long-temps frappé notre habile modeste ami Don Simon de Rojas y Clémente, botaniste espagnol, qui s'est fait un nom dans les sciences par un excellent traité de la vigne. Elle lui inspira l'idée d'un jardin d'acclimatation que le gouvernement ne dédaigna pas d'encourager. On fournit à Clémente les moyens de l'établir. Il choisit comme la position la plus favorable la ville de San-Lucar de Baraméda, et le jaridn d'acclimatation prospérait quand nous arrivàmes en Andalousie. Nous y avons vu en pleine terre une multitude d'arbres utiles des régions les plus chaudes, qu'on y multipliait avec soin et dont on répandait des plants dans la contrée. C'est dans ce jardin que l'on nourrissait ces Lama, ces Alpaco et ces Vigognes destinés pour l'impératrice Joséphine, et qu'un marin y avit déposés. Ces intéressans animaux ont fini par mourir, losque de soins d'une autre nature, nécessaires pour nous maintenir en sûreté dans le pays, ont appelé ailleurs l'attention de tous ceux dont le sort était lié à celui de nos armées. La Canne à sucre, le Cotton, le Gommier [eucalipto] sont sortis de ce jardin et se sont répandus en plusieurs endroits, ainsi que beaucoup d'autres plantes. On y acclimatait le Café el l'Indigo [leguminosa para tinte], qui réussissaient au-delà de toute espérance quand nous abandonnâmes l'Andalousie. [...] (p.216)

[BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1823): Guide du Voyageur en Espagne, par M. Bory de Saint-Vincent, correspondant de l'académie de sciences, l'un des officiers supérieurs anciennement attachés au dépôt de la guerre, et aide-de-camp de son excellence le duc de Dalmatie, durant la dernière guerre d'Espagne (1808 a 1813). Louis Janet, librairie, rue Saint-Jaques, n.º 5. Paris. 1823.] books.google.es


1920 J. Pascual Tirado

País Valencià: Castelló de la Plana

Toni de la Malena es un llaurador molt animós; es negre i cabut i te una esquena de resistencia, que gracias a tindre-la sempre plegá cap a terra, pot mantindre als huit críos que li ha donat la seua Sènta, mes coneguda per 'la Panera' o la conilla del carrer. [...]

¡Qué espill mes clar (la bassa) a on se miren al suau menejar de les seus rames, al bufit atesat del garbí, els oms i els eucaliptes que la voregen! [...]

[PASCUAL TIRADO, José (1920): De la Vida Castellonera: La Font de la Reina. pp.137-142. En el Boletín de la Sociedad Castellonense de Cultura (BSCC). Número V. Septiembre de MCMXX. Castellón.] castellonenca.com


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Recopilación bibliográfica y transcripciones de Jacint Cerdà

En continua actualización.