Otras especies de peletería:
Potro-Poulain de Argentina, cabra de Mongolia, cordero karakul (astracán), cordero persa, nutria de Brasil, nutria matará, toro salvaje, foca de Alaska, rata almizclera, llama, alpaca, vicuña, cobaya
Neolítico
Levante Mediterráneo
Los seres humanos recolectaron y se alimentaron con granos silvestres desde por lo menos 20.000 a. C. A partir de 9500 a. C., se empezaron a cultivar los ocho cultivos fundadores neolíticos (farro -o trigo farro-, trigo escanda, cebada, guisantes, lentejas, yero, garbanzos y lino) en el Levante mediterráneo. El arroz se domesticó en China entre 11.500 y 6.200 a. C., seguido de poroto chino, soya y poroto azuki. Los cerdos fueron domesticados en Mesopotamia hacia 11.000 a. C., seguidos por las ovejas entre 11.000 y 9.000 a. C. En Mesoamérica, el teosinte salvaje fue domesticado como maíz hacia 10.000 a. C. El ganado bovino se domesticó a partir de los uros silvestres en la región de Turquía y Pakistán, alrededor de 8.500 a. C. La caña de azúcar y algunas verduras de raíz fueron domesticadas en Nueva Guinea alrededor de 7.000 a. C. El sorgo se domesticó en la región del Sahel en África hacia 5.000 a. C. En los Andes, en América del Sur, se domesticaron la papa, los frijoles y la coca entre 8.000 y 5.000 a. C., así como las llamas, las alpacas y los cuyes -o cobayas-. en el mismo período se cultivaron e hibridaron plátanos en Nueva Guinea. El algodón fue domesticado en Perú por 3.600 a. C. Los camellos se domesticaron posiblemente alrededor de 3.000 a. C. en Somalia y Arabia.
[Wikipedia: Historia de la agricultura. Consulta del 13.06.2024.]
1823 Bory de Saint-Vincent
Andalucía: Sanlúcar de Barrameda (Costa Noroeste de Cádiz)
4. VERSANT BÉTIQUE. [...] Cette physionomie africaine du versant Bétique avait dès long-temps frappé notre habile modeste ami Don Simon de Rojas y Clémente, botaniste espagnol, qui s'est fait un nom dans les sciences par un excellent traité de la vigne. Elle lui inspira l'idée d'un jardin d'acclimatation que le gouvernement ne dédaigna pas d'encourager. On fournit à Clémente les moyens de l'établir. Il choisit comme la position la plus favorable la ville de San-Lucar de Baraméda, et le jaridn d'acclimatation prospérait quand nous arrivàmes en Andalousie. Nous y avons vu en pleine terre une multitude d'arbres utiles des régions les plus chaudes, qu'on y multipliait avec soin et dont on répandait des plants dans la contrée. C'est dans ce jardin que l'on nourrissait ces Lama, ces Alpaco et ces Vigognes destinés pour l'impératrice Joséphine, et qu'un marin y avit déposés. Ces intéressans animaux ont fini par mourir, losque de soins d'une autre nature, nécessaires pour nous maintenir en sûreté dans le pays, ont appelé ailleurs l'attention de tous ceux dont le sort était lié à celui de nos armées. La Canne à sucre, le Cotton, le Gommier [eucalipto] sont sortis de ce jardin et se sont répandus en plusieurs endroits, ainsi que beaucoup d'autres plantes. On y acclimatait le Café el l'Indigo [leguminosa para tinte], qui réussissaient au-delà de toute espérance quand nous abandonnâmes l'Andalousie. [...] (p.216)
Castilla-La Mancha: Guadalajara
18. PROVINCE DE GUADALAXARA. [...] On y voit quelques manufactures de serges et de draps, dont l'une, qui travaille pou rle compte du roi, donne des qualités presque aussi belles que celles qu'on fabrique en France. C'était l'a que se faisait ce drap de Vigogne si recherché, et dont la manufacture tirait la matière première des montagnes du Pérou. Cette manufacture royale, qui coûte plus cher à la couronne qu'elle ne lui rapporte, n'en a pas moins le grand avantage d'introduire une certaine industrie dans le pays; et l'on ne saurait faire trop de voeux pour que de pareils etablissemens fussent reproduits sur plusierus autres points de l'Espagne. N'est-il pas honteux pour les habitans de cette belle contrée que leur voisins ne pussent se passer de leurs laines et qu'ils viennent les leur revendre, travaillée, à des prix exhorbitans, tandis qu'ils pourraient eux-mêmes, avec un peu d'activité, en tirer un parti avantageux, et s'affranchir ainsi du tribut qu'ils paient à l'étranger? L'exemple de Guadalaxara a déjà été suivi dans plusieurs autres lieux de la Nouvelle-Castille, et l'on voit déjà des manufactures de lainage prospérer à Tolède, à Chincon, à Brihuéga, à Valdémoro, à Cuenca, à Gascuéña, à Siguenza, etc.; mais les produits en sont généralement de médiocre qualité. (p.461)
[BORY DE SAINT-VINCENT, Jean-Baptiste (1823): Guide du Voyageur en Espagne, par M. Bory de Saint-Vincent, correspondant de l'académie de sciences, l'un des officiers supérieurs anciennement attachés au dépôt de la guerre, et aide-de-camp de son excellence le duc de Dalmatie, durant la dernière guerre d'Espagne (1808 a 1813). Louis Janet, librairie, rue Saint-Jaques, n.º 5. Paris. 1823.] books.google.es
17.12.1960 Revista Gran Vía
Madrid
Página de la mujer. Bajo la piel de un cordero... siempre va una mujer, por Marina Bru.- [...] LA PIEL DESFILA. En Madrid se ha celebrado recientemente el I Desfile de la Moda Española de la Piel. Más de 100 modelos diferentes capaces de colmar los deseos de la más contumaz soñadora 'del astracán'. En la pasarela todas las manifestaciones de la piel, desde los zapatos de punta italiana, hasta el gorro 'a lo Fabiola', a martas, pasando por el traje de chaqueta en ante, los abrigos de piel de 'toro salvaje' -última novedad de la peletería-, los visones en horizontal y las chaquetas de chinchilla de precio rayano con el pecado mortal. Para aplacar la imaginación y las cifras circulantes ('las 300 pesetas' que secretea la mujer a su marido, confirman más a éste en su firme posición de que menos frío se pescará en un atotomóvil que en un visón, con la ventaja de que el primero cuesta menos), salen a la pasarela las prácticas blusas de ante estampado y lavable, creación de Mollerich, de Barcelona, y los accesorios de cuero y ante: bolsos, guantes, zapatos y los adornos y guarniciones en pieles buenas. Algunos abrigos de tipo sport, realizados en 'agneau rasé' y bordados de ante o punto, creados por el peletero madrileño, José Luis, cuyo único valor -y su precio es asequible- reside en la perfecta hechura. con ánimo tranquilo, se ven pasar los abrigos de nuevas pieles: potro-poulain de la Argentina y curtidos en Francia; la cabra de Mongolia que parece lana algo sucia, el toro salvaje con sus grandes manchas, la nutria del Brasil, en tonos pastel, la nutria 'matará' bronce oscuro. [...] España exporta -aparte de las piezas confeccionadas- pieles de las llamadas de imitación, es decir, de conejo, que tiene gran acogida en el mercado de Leipzig -una de las 'bolsas' con París y Londres de la piel- especializado en pieeles económicas. Por el contrario, tiene que importar las pieles de calidad, aunque ya ha conseguido algunas variedades nacionales del karakul e incluso de visón y martas. En fin, esperemos que esta serie de datos concretos, sirvan al menos para apabullar al recalcitrante marido. Ni quitamos ni ponemos visón. Pero ayudamos a la mujer en la compra de su abrigo tan solo para evitar que el marido se convierta en un monstruo 'con' cadena perpetua.
[Revista Gran Vía (Barcelona). 17 de diciembre de 1960: link. Buscador de prensa catalana: cercador]
1.5.1963 LA PRESQU'ILE (revista)
Dorion [antigua villa de Vaudreuil-Soulanges, Québec, Canada]
SALON DE FOURRURES SARRAZIN. POURQUOI VOUS DEVEZ VISITER CE MAGASIN. Certaines personnes se demanderont pourquoi on vient leur parler de fourrures alors que, la niege à peine fondue, les espoirs printaniers ne nous font rèver que de soleil, de sable chaud et des plages. Comme nous le disait M. Emile Sarrazin, propiétaire de Sarrazin Fourrures de Dorion, il y a pourtant deux excelentes raisons de le faire. Premièrement, les fourrues de printemps sont une toute autre chose que les fourrues d'hiver. Deuxièmement, plusierus femmes intelligentes profitent de ce temps plus tranquille pour faire réparer leurs fourrures; d'autres enfin profitent de la fin de la saison pour acheter le manteau de fourrure de l'hiver proxain, elles l'auront à meilleur compte [...]
Pour celles qui sont intéressées à l'achat d'un manteau de fourrure, ce printemps, voilà les types qui seront le plus en vogue l'hiver prochain: tout d'abord une nouveauté, le nutria matara (on sait que le nutria c'est de la loutre de l'Amérique du Sud); le nutria huïtre, caramel; les moutons de Perse noir, brun et gris; le phoque d'Alaska; la patte de vison, surtout noir, et toutes les autres fourrures connues. Il ne faudrait pas oublier le 'mink twede' (gorges de vison), qui a connu une grande vogue, cette année, et que l'on reverra à nouveau sur le marché.
Pour le printemps, les jaquettes de fourrure sont plus en demande; la coupe est à peu près la même que celle de l'an passé: courtes droites, cols Peter Pan, manches bracelet; on les voit en mouton gris, en pattes de vison, en rat musqué, en vison. Plusieurs ont des cols de fourrure noire. [...]
[LA PRESQU'ILE. Mercredi, 1er MAI 1963: link] [enlace caído]
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Recopilación bibliográfica y transcripciones de Jacint Cerdà